Le nombre de fois où je dois ôter de mes souliers les petits gravillons qui s’y sont glissés me fait penser que le bitume est loin d’avoir envahi cette ville.
Le nombre de fois où je dois ôter de mes souliers les petits gravillons qui s’y sont glissés me fait penser que le bitume est loin d’avoir envahi cette ville.
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